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Thursday, September 12, 2013

e scanner des documents imprimés et de les mettre en ligne pour qu'ils soient accessibles depuis les résultats de recherche Google. Il annonce : « nous avons étendu le programme, et nous invitons maintenant les éditeurs à nous envoyer des livres que nous scannerons et mettrons en ligne gratuite

res informations bibliographiques pour les rendre accessibles via un navigateur.
Le projet secret est évoqué sous le nom de code « Project Ocean »7, dont la dénomination laissera longtemps croire à une extension des fonctionnalités offertes par Google Earth8 (celle-ci aura finalement bien lieu, mais sous le nom de code « Google Ocean »). C'est Wayne Rosing, vice-présidente en ingénierie chez Google, qui aurait mené des tractations à travers le monde, se concentrant dans un premier temps sur 12 pays. Mais c'est surtout la bibliothèque de l'université Stanford, détentrice d'un fond de plusieurs millions d'ouvrages libres de droits, qui est évoquée comme première institution partenaire du projet.
Le 6 octobre 2004, Google annonce le lancement d'une initiative baptisée « Google Print » à la Foire du livre de Francfort. Dans un billet sur le blog officiel9, le directeur de produit Adam M. Smith la décrit comme une première tentative de scanner des documents imprimés et de les mettre en ligne pour qu'ils soient accessibles depuis les résultats de recherche Google. Il annonce : « nous avons étendu le programme, et nous invitons maintenant les éditeurs à nous envoyer des livres que nous scannerons et mettrons en ligne gratuitement. » Au moment du lancement, les éditeurs américains qui rejoignent le programme sont : Blackwell, Cambridge University Press, University of Chicago Press, Houghton Mifflin, Hyperion, McGraw-Hill, Oxford University Press, Pearson, Penguin Books, Perseus, Princeton University Press, Springer, Taylor & Francis, Thomson Delmar, Warner Books. L'initiative s'inscrit dans le contexte plus général du but que s'est fixé Google d'« organiser l'information dans le monde et de la rendre universellement accessible et utile. »
Le 14 décembre 2004, Adam M. Smith et Joseph O'Sullivan expliquent dans une autre note10 que beaucoup de livres à travers le monde ne sont plus édités, et qu'en travaillant en partenariat avec des bibliothèques et des éditeurs ils souhaitent rendre accessibles des millions de livres au grand public. Ils annoncent alors plusieurs partenariats pour scanner le contenu de collections issues des universités du Michigan, d'Harvard, de Stanford, Oxford, et de la New York Public Library. Ce partenariat inédit est baptisé « Google Print Library », et se fixe pour objectif la numérisation de 15 millions de livres en 10 ans, pour un total de 4,5 milliards de pages et un coût estimé entre 150 et 200 millions de dollars. Au moment de l'annonce, les éditeurs que Google a contacté lui permettent déjà d’indexer 60 000 livres (contre 120 000 à la même date pour Amazon.com) ; aucun détail n'est communiqué sur le détail des opérations de numérisation. L'annonce ne concerne initialement que des ouvrages libres de droit d'auteur (publiés avant 1923) et choisis par les bibliothèques elles-mêmes.
Fin 2004 est également lancé Google Scholar, qui permet d'effectuer des recherches sur des articles scientifiques, des thèses universitaires, des citations ou des livres scientifiques. Si Google Books rassemble une quantité bien plus imposante de

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